📣 Tour Cyclo Nord 2025  Inscriptions

Vélo Club Val d'Europe

Le site de l'association du Vélo Club Val d'Europe

  • Accueil
    • Partenaires
    • Mentions légales
    • Météo
  • Tour Cyclo
  • Le Club
    • La philosophie du Club VCVE
    • Devenir membre
    • Calendrier : vie du club
    • Les mails du bureau
  • Route
    • 4e Tour Cyclo Nord 77
    • La philosophie de la Route au sein de VCVE
    • Récits sorties club – Route
    • Récits longues distances
    • Parcours – Départ 8h (Eté)
    • Parcours – Départ 8h30 (Mi-saison)
    • Parcours – Départ 9h (Hiver)
    • Parcours (un peu) plus long
  • VTT
    • Les Traces GPX de Michel
      • Foret de Ferrières
      • Gretz-Armainvilliers
      • Favières
      • Neufmoutiers-En-Brie
      • Tigeaux
      • Mortcerf
      • Guérard
      • La Celle-Sur-Morin
      • Crécy La Chapelle
      • Bouleurs
      • Quincy-Voisins
      • Saint Fiacre
      • Nanteuil-lès-Meaux
      • Carnetin
      • Champs-Sur-Marne
      • Courtes Distances
      • Autres Parcours
    • Les Traces GPX de Florian
    • La philosophie du VTT au sein de VCVE
    • Récits sorties club – VTT
  • VIDEOS
  • évènements
    • [Terminé] 13e Rando/Raid VTT 2025
    • [Terminé] 24 Heures VTT | Virade de l’Espoir des Portes de la Brie
    • [Terminé] 12e Rando/Raid VTT 2024
    • [Terminé] 5e Tour Cyclo Nord 77
    • [Terminé] 24 Heures VTT | Octobre Rose 2023
    • [Terminé] 11e Rando/Raid VTT
    • [Terminé] 4e Tour Cyclo Nord 77
    • [Terminé] 24H VTT Téléthon (2022)
    • [Terminé] 10e Rando/Raid VTT (2022)
    • [Terminé] 3e Tour Cyclo Nord 77
    • [Terminé] 9e Rando/Raid VTT (2021)
    • [Terminé] 2e Tour Cyclo Nord 77 (2021)
    • [Terminé] 8e Rando/Raid VTT (2019)
    • [Terminé] 1er Tour Cyclo Nord 77 (2019)
Vous êtes ici : Accueil / Archives pour Route

[Route] BRM 200 de Noisiel – 17 mars 2018

17 mars 2018 by Claude Enzer

Gr 1 : Bon, on savait qu’il allait pleuvoir , que le vent serait modéré et plutôt favorable sur le retour. Choses promises, choses dues.
Départ 7h00 pour les 5 du vcve et un triathlète de Montmorency avec un vélo surchargé de prolongateur ( Enzer junior).
les 7 premiers km sont sages puis à la sortie de Guermantes, l’avant de notre groupe de 30 ( on part de 5 mn en 5 mn entre les groupes) accelere.
Une douzaine partent à l’avant dont Philippe le ch’ti.
Le clode etait sagement dejà resté avec l’arriere du groupe.
on se retrouve donc les trois vcve 1./4 puisque JP est VCVE les années du PBP.
Nous respectons le parcours à la lettre. beaucoup passeront par Serbonne en sens interdit et à Jouarre, descendront directement pour gruger 2 km. En bas de Courcelles, au km 46, la pluie fait son apparition.
On bâche!!
C’est reparti pour la Vallée de la Marne, la vigne encore endormie à cette période.
Enfin , Chateau Thierry puis le contrôle 1 à Brasles.
On retrouve les premiers et Philippe qui a bien eu le temps de faire le plein.
L’arrêt de 20 mn est long. Avec la pluie, les gants mouillés, pas facile d’attraper la nourriture dans les poches.
On repart et un peu après, on bénéficie enfin du vent dans le dos.
Avec la pluie continue et la nature encore au repos, on ne peut pas dire que c’était gai.
Il fait environ 5° mais je me felicite d’avoir une casquette pluie avec une grande visière pour ne pas avoir la pluie directement sur les lunettes.
Content aussi de mes  » rainleggs » pour avoir les cuisses et les genoux au sec.
Après la côte douce et reguliere de Villeneuve sur Bellot, 2eme contrôle à Rebais.
Nous retrouvons les premiers qui allaient repartir. Ca tremble pas mal avec le corps mouillé et l’arrêt.
Le sol ressemble au bassin des bébés à la piscine.
Encore un bon 20 mn d’arrêt. il FAUT MANGER et prendre une boisson chaude sinon…
On repart. pause pipi à la demande de Jluc. On s’arrête à trois à la sortie de Chantareine.
Comme Philippe, Jp n’ont pas regardé le parcours, ils prennent de l’avance et ne tournent pas à g.
Le temps que l’on se regroupe et c’est 2-3 km de gratuit en allant jusqu’à Doue. Grrrrrrrrr
Enfin, on reprogresse ensemble en empruntant notre parcours rando à contre sens.
Mouroux, Pommeuse et la côte vers Faremoutiers. On s’attend en haut.
Les pieds et mains froides rendent difficile la sortie pour certains.
Tigeaux, Villeneuve, Jossigny et hop déjà Noisiel à 15h57.
Depuis 1990 que je fais ce brevet, j’ai connu bien pire surtout avec un fort vent de face au retour.
A l’arrivée, c’est le pointage et on demande tous une boisson chaude.
Merci à mon épouse de m’avoir préparé des gaufrettes maison, deux croque monsieur et des pruneaux dénoyautés.
Thierry

Gr 2 : Bon, je ne vais pas évidemment tout reprendre. En haut de la première bosse de Noisiel, déjà 20m de retard que nous comblerons, le Gr 1 jacassant encore plus que nous, pôôôvre Gr2 ! En haut de Guermantes, 50m de retard et nous voyons cet écart augmenter, donc bye bye le Gr 1! Bref, 0 km effectué ensemble, mais c’était prévu. Au fait, je ne suis pas seul. Ya Emmanuel, mon ancien chef, à l’époque où je bossais, que j’ai doucement mais sûrement converti à la longue distance. Il envisage de faire PBP l’année prochaine! Et moi, j’ai pas trop envie de la laisser seul, alors… je réfléchis! Tant pis pour ceux qui pensaient que j’allais préparer la soupe aux contrôles. Crevaison d’Emmanuel entre Villeneuve et Tigeaux, seul pépin sur nos 200km. Il m’a demandé la référence des Durano +, donc, ça devrait plus se reproduire ! Donc, on chache, on jacasse, on roule à 2, à 3, à 4, ça dépend! Il pleut avant Jouarre, on bâche ..et on arrive à Brasles, km 84. JP allait repartir, on échange qq mots. Boisson chaude, petits sandwiches, barres et cacahuètes. On reste 20 mn et on repart toujours sous la flotte. Fait pas chaud ! Emmanuel monte bien les bosses, je monte à ma main. Rebais, km 141 est atteint à 13h30, on reste 25 mn. Petits sandwiches, boisson chaude, banane et fruits secs. Départ au froid pour la dernière étape. La temp de 7deg au départ, n’est plus que de 3-4 deg. Bref, avec la pluie ..fait pas chaud. Pour ce qui me concerne, seules les mains me gênent. Comme bcp le savent, moi, je ne mets rien de spécial qd il pleut, puisque de tte façon, à la fin, tout est trempé. J’économise donc le poids de vêtements mouillés et donc lourds. Aucune erreur de parcours de notre côté, le Claude a bien tout appris! Nous roulons maintenant à 5, l’un d’entre eux ayant cassé son câble de dérailleur AR roule sur le petit pignon. Nous montons Faremoutiers ensemble .. et finissons à 5, donc pas d’arrêt. Nous montons Tigeaux à 5 et finissons à 5..donc pas d’arrêt. Nous finissons donc tous les 5 à Noisiel à 16h34 48sec et 2/10. (La précision à la minute ne me paraît pas satisfaisante !). Boisson chaude, 2 gâteaux et un bon claquage de dents plus tard ds la voiture, une bonne douche fût la bienvenue !

Bref, un 200 difficile, mais comme dirait Thierry, on en a vu d’autres, ne serait ce que le PBP 2007 !!! (Celui-là, pas près de l’oublier). 23,4km/h fût notre moyenne vélo sur le parcours.

Claude

Classé sous :Récits longues distances, Route

[Route] Sortie du 17 décembre

22 décembre 2017 by Claude Enzer

11 au départ de Magny malgré le brouillard ..et à peine la moitié avec feu rouge et/ou gilet fluo pourtant obligatoire avec ce genre de météo, puis 13 après une dizaine de km ( Patricia et J Marc ont eu à gérer un petit souci)  !!!!
 
Partis ensemble à allure sympathique, rejoint donc par Patricia et JMarc, le peloton a roulé à allure calme et tranquille où tout le monde "jacassait" avec tout le monde, bref une sortie sympathique. Seul philippe a joué les trublions en s'amusant à crever 2 fois de l'avant . J'espère que le père Noel va lui amener un Durano + tout neuf (2 ça serait mieux) car il a décidé de se joindre à nous lors du 200 des bourrins qui aura lieu le ..4 Janvier, soit un jour plus tard (il fera clair plus longtemps , lol )
 
Retour groupé jusque Villeneuve le Comte, ensuite compte tenu de l'heure tardive, chacun est rentré à sa vitesse et son itinéraire chez son "chez-soi"
 
Conclusion: Une bien belle sortie d'hiver avec de superbes lumières lorsque le brouillard jouait à cache cache avec le soleil !!!! Ca aurait pu être sympa d'avoir un appareil photo !!!
 
Claude

Classé sous :Récits sorties club - Route

[Route] Relais Montbeliard Bellegarde 24-25 octobre 2017

26 octobre 2017 by Claude Enzer

MONTBELIARD BELLEGARDE

24-25 Octobre 2017

322 km – 4808 m dénivelée

24/10 Montbéliard > Bellegarde

162 km – 7h10 > 16h30

Départ de nuit, sachant que le soleil se lève vers 8h10.

Même à cette heure matinale, le trafic automobile est impressionnant. Le bassin industriel va bien à ce que je vois.

Dès la sortie de Audincourt, 6km de Montbéliard, les premières bosses apparaissent. Et elles font déjà pas mal de km. Mise en jambe rapide et efficace. En plus il y a des travaux (route coupée) résultat,  je roule dans les graviers.

Pierrefontaine est recouverte d’une mer de nuages. Photo prise et 5 mn après, je suis sous les nuages

J’emprunte la vallée de la Dessoubre dans le sens montant. Résultat plus de 20b à 1-2% sans interruption. Tout le temps en prise. Petite photo à Gigot pour notre ami Cochonou. Puis je prends à gauche et … ça continue à grimper ! Au total plus de 40b.

Au kilomètre 75 premier arrêt dans un restaurant à Orchamp-Venne. Il est 11h30, trop tôt pour déjeuner. Le restaurateur, très sympa au demeurant me conseille d'aller manger au restaurant de la cascade à Moutiers Haute-Pierre, environ 35 km. Je pars donc illico. Arrivé à 12h45, déjeuner en 35 minutes ce qui est une forme de record. Entrée, plat, dessert, café ! Cochonou en rêve, Claude l’a fait ! Petite descente jusqu'à Lods puis on tourne à gauche et là, longue montée jusqu'à Bolandoz. Encore 15 km de montée. Un peu de plat (évidemment pas tout à fait, le plat est une notion inconnue dans cette région) et descente en direction de Salins-les-Bains. Un peu de gymkana en arrivant et je pointe dans un café à côté des thermes. Patron bien sympathique. Il m'indique la direction d’Arbois par la route directe comme l’indique le road book et que personne ne prend. Facile à comprendre! 11% à la sortie d’Arbois pendant plusieurs centaines de m, puis on revient à du 7-8% pendant … longtemps! Le plus gros pourcentage du Relais. Ensuite, comme après chaque montée, descente vers Arbois que je traverse rapidement. Les vignobles sont partout, vin du Jura oblige. Puis les 3 km de montée en direction de Pupillin, où se trouve mon gîte sont encore une fois difficiles. Elle s'effectue au  milieu des vignes. L’entrée de Pupillin montre que tout le village est tourné vers le vin. Plus d’envie de faire des photos, je regrette, car c’était superbe. Toute la journée ou presque ce fut soleil et température automnale (18deg). Faisant tout le temps nos randos l’été, nous ne connaissons pas trop le bonheur de rouler avec des couleurs automnales. Ca sera le plus beau souvenir de cette ballade. Maintenant, avec le réchauffement, il faut vraiment revoir la façon d’organiser nos randos. Arrivée devant le gîte à 16h30. Accueil très sympathique de la patronne du lieu. Je dispose d'une chambre double, d’une grande salle de bain, de toilettes et d’une cuisine, tout ça pour moi! Le repas du soir est servi avec saucisses de Morteau, patates, salade et surtout cancoillotte. Ensuite, fromage local puis..tartes aux pommes et à la myrtille, le tout pour moi tout seul! Inutile de vous dire que j’ai calé. Ensuite gros dodo!

26 octobre 17

Pupillin – Bellegarde

164 km 7h15 – 18h00

Debout 6h pour petit-déjeuner à 6h30. La patronne est à l’heure. Jambon, fromage, miel local, beurre, confiture, viennoiseries, bref tout ce qu'il faut! Départ de Pupilin à 7h15 dans la nuit. Après quelques minutes sur une toute petite route délicate (mouillée, de nuit avec des feuilles mortes), retour sur une nationale. Arrivée à Poligny, photos pour mon ami Nicolas. Je demande la route pour Plasne. Une dame, présente dans la boutique et qui en vient me dit qu'il y a beaucoup de brouillard en haut du plateau. Cela signifie que ça va encore monter, puis ça sera le brouillard! Montée de 7 km à 7-8%. En haut il y a effectivement du brouillard, mais rien de catastrophique. La route monte et descend pendant plusieurs kilomètres. J'emprunte une toute petite route du côté de Ladoye et son cirque, même pas entrevu. Là aussi, il vaut mieux ne pas avoir de soucis! Descente vers Baume les Messieurs. Le village, en théorie touristique (église clunisienne, grotte, cirque)  semble plutôt sinistré. Je suis supposé pointer mais les 2 restaurants sont fermés. Alors je fais une photo. Une dame de 75-80 ans m’indique le chemin avec une précision monstrueuse pour les 20 prochains km. Il est 9h15, portes et fenêtres sont grand ouvertes, il fait 12deg. Cherchez l’erreur! Sortie de Baume, encore du 9%.... Et pendant pas mal de kilomètres. Puis ça sera un plateau avec un peu de brouillard pendant longtemps. La température du matin était de l'ordre de 9 degrés et a mis du temps avant de monter. Mais vers 11h30, plus de brouillard depuis une heure et il fait 21-22 degrés! Pas mal pour un 25 octobre! Bref sur ce coup-là je me suis bien débrouillé! À Clairvaux-les-Lacs, km 60  je m'octroie une petite pause dans une boulangerie, cookie et iced tea. Première pause de la journée. En fait avec les bosses, je n'avance pas. Le midi, 40 km de retard par rapport au jour précédent. À partir de Clairvaux-les-Lacs jusqu'à Saint-Claude, traversée du désert,  strictement aucune boutique et rien d'ouvert. Je suis le parcours du tour de France, par le col de la Joux, à plus de 1000m. Ce col commence tranquillement à 2-3 % puis, en sortie de virage on passe à 7- 9 %  jusqu'au sommet. Montée déserte encre une fois, que le silence. Lors du passage du tour, ça devait être différent. Après la descente, je suis supposé pointer à Château-des-Prés il n'y a même pas une seule boutique, c’est incompréhensible. À partir de là,  que du bonheur puisque c'est une descente ininterrompue  jusque St Claude. (une trentaine de km)

Il est déjà 13h45. Alors, je me restaure rapidement avec un croque, une omelette et un café. A La sortie de St Claude et avec l’aide d’une automobiliste particulièrement aimable, je m’attaque à une bosse de 15 km jusqu'aux Bouchoux, si l’on excepte une descente à 11% d’1 km. Et heureusement, je suis presque tout le temps à l’ombre, j’aurais presque trop chaud! A un km du croisement, coup au moral. Je me fais doubler par une jeune fille charmante et souriante qui me demande où je vais et puis, elle s’en va! Grrr !

Aux Bouchoux, je suis censé pointer, mais là encore pas de boutiques. Au total, ce jour, 3 contrôles et 3 photos. La bosse continue d'une manière ininterrompue jusqu'à l'Embossieux, 6 km plus loin. Soit encore une bosse de plus de 20km! Là, je suis à presque 1000m, 30km de Bellegarde, je me dis que je vais me laisser descendre tranquillement jusque Bellegarde. Que nenni! Un peu de plat jusque La Pesse. Puis une magnifique route forestière déserte m'oblige encore à monter encore et encore! Je commence à perdre patience, les bosses se montent entre 8 et 11km/h, bref, ça ne va pas bien vite! Sans le triple, je ne serais pas passé. Enfin à Giron, après une première descente un peu délicate (à l’ombre, c’est humide avec feuilles mortes) j'amorce la vraie descente vers Bellegarde! Mais à 10km de Bellegarde, au Pont des Pierres, ça recommence, montées descentes. Arrivée à Bellegarde par la même route que la flèche. A 18h je suis enfin à la gare TGV, celle que Cochonou à oublié de connaître. Compartiment vélo, le contrôleur a "oublié" de me le facturer, bref à 22h, je suis à la gare de Lyon, 23h30 à la maison.

Conclusion:

Superbe ballade, paysage d'automne que nous ne voyons jamais. Les gens et les voitures, aucun problème, Soleil superbe, le gîte à Pelullin que je recommande (3km d'Arbois). Juste un peu froid le matin mais ça c'est normal à la fin octobre.

Dommage que personne du club n’ait relevé le défi de venir! Mais d’un autre côté, rouler seul, faire ce que l’on veut quand on veut est aussi super cool.

Aucune erreur de parcours, pas de défaillance. Juste une vitesse « contrôlée » dans les bosses pour ne pas me mettre dans le rouge. Au total et par un petit calcul simple, si l’on considère 4800 m à 5% de moyenne > ça fait quand même 96b de montée en 2 jours! Bref, ce n’est pas la Seine & Marne !

Claude

Classé sous :Récits longues distances

[Route] Tour du Vaucluse – 13 octobre 2017

19 octobre 2017 by Claude Enzer

TOUR DU VAUCLUSE AVEC CROCHET PAR FORCALQUIER

416 km- 5210 m de dénivelé.

Vendredi 13 au dimanche 15 octobre 2017

Jean Luc Lemaire, Didier Garzino et Thierry Morlet.

Vendredi 13 octobre : Avignon Tgv-Crillon le Brave( près Bédouin)

110 km 4046 calories 902 m.

Départ Tgv à Marne la Vallée Chessy à 8h40. Comme exeptionnellement je me suis fais déposé en vehicule, c’est en gare que je m’aperçois que j’ai oublié mon casque. Grrr, la premiere en fois en 36 ans de velo.

 

Pas ideal le transport des velos en train quand il n’y a pas de compartiment velo.

Nous arrivons à Avignon TGV à 11h44 comme prévu. On deballe nos velos, on jette les grands sacs poubelle qui nous ont permis de mettre les velos.

Il fait beau. On se prend une petite heure à visiter la ville historique et le Palais des Papes à Avignon.

Nous traversons le Rhone pour faire une petite incursion dans le Gard afin d’éviter les routes encombrées au Nord d’Avignon. Pause café à Sauveterre.

Jean luc mesurera le fait que d’avoir un sac à dos par rapport au porte bagage augmente de maniere exponentielle le risque de repartir du bistrot sans le sac à dos et de s’en apercevoir plus loin.

Au km 85, nous arrivons à Vaison La Romaine, site touristique important.

C’est à 1,4 km de Crillon le Brave que nous prendrons une de ces chambres d’hotes.

Je recommande le lieu.

Après un apero sympa avec le couple d’hôtes et un couple hollandais de passage comme nous, passage à table pour un plat qui tient au corps !!

Samedi 14 octobre:Crillon le Brave-Mont Ventoux-Sault-Forcalquier-Simiane la Rotonde-St Christol( près)-Rustrel

158 km 2970 m. 21,06 km/h 7303 calories

Depart à 7h30 pour 15 mn avec l’éclairage jusqu’à la sortie de Bedouin.

Ce matin, c’est LE BUT pour Didier qui ne l’a jamais monté et pour jean Luc, premier fois par Bédouin. Ils sont prévenus. Au virage  à gauche du restaurant après 4km, c’est tout à gauche.

Chacun montra comme il aura pu en fonction de ces capacités et de ses développements.

Couvert en bas, le ciel sera parfait.

Au sommet, nous sommes au dessus les nuages.

On se retrouve au chalet Reynard pour la descente vers Sault.

Sur la place de Sault avec la rue des commerces. Nous prendrons quelques forces.

Perso, je me regalerai d’une quiche aux poireaux.

Nous arrivons chez Patrice Levasseur vers 13h40.

Pour ceux qui ne connaissent pas Patrice, il fut un des piliers du club lors de sa reprise en 2001.

Toujours licencié au V.C.V.E, il vit désormais à Forcalquier depuis 4-5 ans.

Nous y dejeunerons un succulent plat de lasagnes préparés par son épouse et une tarte aux pommes.

Patrice était venu à notre rencontre 17 km avant et nous accompagna 13 km après.

Les deux de tête ont mis leurs sacs à dos dans la voiture !! Des graisseux !

Le soir, nous avons pris un gite disponible pour une seule nuit. Il est très bien également.

Nous mangerons au resto à 50 m en tenue de soirée !

 

Dimanche 15 octobre

Rustrel- Cereste-Pertuis-Lourmarin-Bonnieux-Fontaine de Vaucluse-Isles sur la Sorgue-Avignon.

148 km  1342 m

 

9°C au depart mais rapidement 6°C à Cereste. Ca pince un peu et ça grimpe surtout vers le col de l’Aire  à 950 m. Sur le versant sud, le soleil est généreux et la température remonte à l’entrée du Lubéron.

A Lourmarin, c’est la pause en cas. Jean luc avait mis une boite : svp un euro !

Après avoir remonté la Combe de Lourmarin qui surprend sur la fin, arrivée à Bonnieux, autre village classé.

A Fontaine de Vaucluse ou la Sorgue sort de la roche par résurgence.

Plus loin, c’est le paradis des brocanteurs à Isles sur la Sorgue et ses roues à aubes.

Jean luc n’en peut plus. C’est le troisième jour qu’il a quitté le nid. Dès qu’une jeune femme passe, on a droit à «  ça te réveillerait un mort »

Nous arriverons à Avignon Tgv 1h30 avant le train. Il a fallu donc se réhydrater.

Comme dit Jean Luc, la premiere bière, c’est pour fêter la fin du circuit, la deuxieme, c’est pour la soif.

En résumé, ces trois jours se sont passés «  on ne peut mieux ». Une météo parfaite, des points de chute pour les étapes idéals, une bonne entente.

A refaire en 2018 avec pourquoi pas un plus gros groupe sur une destination similaire mais avec un col majeur plus accessible qui demande avec un velo à 16 kgs des tout petits développements.

A 2h40 de tgv, la Drôme nous tend les bras. Les Vosges ne sont pas loin non plus.

Quand le soleil reviendra , je repartira

quand les bourgeons reviendront, nous repartirons !

 

Thierry

Classé sous :Récits longues distances

[Route] Tour du Vaucluse – Octobre 2017

15 octobre 2017 by Thierry Morlet

TOUR DU VAUCLUSE AVEC CROCHET PAR FORCALQUIER

416 km- 5210 m de dénivelé.

Vendredi 13 au dimanche 15 octobre 2017

Jean Luc Lemaire, Didier Garzino et Thierry Morlet.

Vendredi 13 octobre : Avignon Tgv-Crillon le Brave( près Bédouin)

110 km4046 calories-902 m.

Départ Tgv à Marne la Vallée Chessy à 8h40. Comme exeptionnellement je me suis fais déposé en vehicule, c’est en gare que je m’aperçois que j’ai oublié mon casque. Grrr, la premiere en fois en 36 ans de velo.

Pas ideal le transport des velos en train quand il n’y a pas de compartiment velo.

Nous arrivons à Avignon TGV à 11h44 comme prévu. On deballe nos velos, on jette les grands sacs poubelle qui nous ont permis de mettre les velos.

Il fait beau. On se prend une petite heure à visiter la ville historique et le Palais des Papes à Avignon.

Nous traversons le Rhone pour faire une petite incursion dans le Gard afin d’éviter les routes encombrées au Nord d’Avignon. Pause café à Sauveterre.

Jean luc mesurera le fait que d’avoir un sac à dos par rapport au porte bagage augmente de maniere exponentielle le risque de repartir du bistrot sans le sac à dos et de s’en apercevoir plus loin.

Au km 85, nous arrivons à Vaison La Romaine, site touristique important.

C’est à 1,4 km de Crillon le Brave que nous prendrons une de ces chambres d’hotes.

Je recommande le lieu.

Après un apero sympa avec le couple d’hôtes et un couple hollandais de passage comme nous, passage à table pour un plat qui tient au corps !!

Samedi 14 octobre:Crillon le Brave-Mont Ventoux-Sault-Forcalquier-Simiane la Rotonde-St Christol( près)-Rustrel

158 km 2970 m. 21,06 km/h 7303 calories

Depart à 7h30 pour 15 mn avec l’éclairage jusqu’à la sortie de Bedouin.

Ce matin, c’est LE BUT pour Didier qui ne l’a jamais monté et pour jean Luc, premier fois par Bédouin. Ils sont prévenus. Au virage à gauche du restaurant après 4km, c’est tout à gauche.

Chacun montra comme il aura pu en fonction de ces capacités et de ses développements.

Couvert en bas, le ciel sera parfait.

Au sommet, nous sommes au dessus les nuages.

On se retrouve au chalet Reynard pour la descente vers Sault.

Sur la place de Sault avec la rue des commerces. Nous prendrons quelques forces.

Perso, je me regalerai d’une quiche aux poireaux.

Nous arrivons chez Patrice Levasseur vers 13h40.

Pour ceux qui ne connaissent pas Patrice, il fut un des piliers du club lors de sa reprise en 2001.

Toujours licencié au V.C.V.E, il vit désormais à Forcalquier depuis 4-5 ans.

Nous y dejeunerons un succulent plat de lasagnes préparés par son épouse et une tarte aux pommes.

Patrice était venu à notre rencontre 17 km avant et nous accompagna 13 km après.

Les deux de tête ont mis leurs sacs à dos dans la voiture !! Des graisseux !

Le soir, nous avons pris un gite disponible pour une seule nuit. Il est très bien également.

Nous mangerons au resto à 50 m en tenue de soirée !

Dimanche 15 octobre

Rustrel- Cereste-Pertuis-Lourmarin-Bonnieux-Fontaine de Vaucluse-Isles sur la Sorgue-Avignon.

148 km 1342 m

9°C au depart mais rapidement 6°C à Cereste. Ca pince un peu et ça grimpe surtout vers le col de l’Aire à 950 m. Sur le versant sud, le soleil est généreux et la température remonte à l’entrée du Lubéron.

A Lourmarin, c’est la pause en cas. Jean luc avait mis une boite : svp un euro !

Après avoir remonté la Combe de Lourmarin qui surprend sur la fin, arrivée à Bonnieux, autre village classé.

A Fontaine de Vaucluse ou la Sorgue sort de la roche par résurgence.

Plus loin, c’est le paradis des brocanteurs à Isles sur la Sorgue et ses roues à aubes.

Jean luc n’en peut plus. C’est le troisième jour qu’il a quitté le nid. Dès qu’une jeune femme passe, on a droit à « ça te réveillerait un mort »

Nous arriverons à Avignon Tgv 1h30 avant le train. Il a fallu donc se réhydrater.

Comme dit Jean Luc, la premiere bière, c’est pour fêter la fin du circuit, la deuxieme, c’est pour la soif.

En résumé, ces trois jours se sont passés « on ne peut mieux ». Une météo parfaite, des points de chute pour les étapes idéals, une bonne entente.

A refaire en 2018 avec pourquoi pas un plus gros groupe sur une destination similaire mais avec un col majeur plus accessible qui demande avec un velo à 16 kgs des tout petits développements.

A 2h40 de tgv, la Drôme nous tend les bras. Les Vosges ne sont pas loin non plus.

Quand le soleil reviendra , je repartira

quand les bourgeons reviendront, nous repartirons !

Thierry

Classé sous :Récits longues distances, Route

[Route] Strasbourg Montbeliard – Juillet 2017

23 juillet 2017 by Claude Enzer

STRASBOURG MONTBELIARD

24 > 26 JUILLET 2017

288km – 4394m

24 juillet 17

Strasbourg – Le Hohwald

14h – 60km – 18h30

Départ en TGV à 11h30, arrivée à Strasbourg à 13h30 , vive la SNCF … sauf qu’il n’y avait pas de compartiment vélo !!

Remontage du vélo, sortie de la gare, pointage dans un café, recherche de la piste cyclable en direction de Bruche…et c’est parti !

17 km de piste sympathique le long du canal de Bruche, le GPS que j’utilise réellement pour la première fois m’indique « hors parcours » (normal il est programmé pour la route)

Puis la route d’Obernai qui oscille entre piste cyclable à gauche, à droite ou pas de piste, bref une réalisation typiquement française. De la bonne volonté, mais peu de moyens pour un résultat satisfaisant !

Le temps est couvert, bruineux mais se tient . Je distingue le mont saint Odile que je dois gravir, recouvert d’un bon paquet de nuages noirs !

Obernai est rejoint… sous la pluie !!! Petit café à la terrasse sur la place principale que je connais bien ! Entre flèches et voyages en voiture, nous y passons de temps en temps!

Départ pour le Mont saint Odile où là encore le GPS m’indique que je suis hors parcours, alors que les panneaux … !

Bref, ma conclusion est: En aucun cas, se lancer dans une rando longue distance avec seulement un GPS. Le road book et la carte restent indispensables. Par contre, il faut être juste, de temps en temps, il m’a aussi rendu service!

La montée est longue et monotone mais le but est sympa ! Je visite rapidement le Mont, discute avec le serveur sympathique, pointe et repart en direction d’Hohwald, à 10km. Le gîte n’est pas facile à trouver et l’accueil est un peu froid, malgré la pluie. Au final, une famille un peu chelou, mais très sympa. J’y ais mangé bio ET végétarien et c’était super ! (plat typiquement alsacien, pommes de terre vapeur, fromage blanc nature aromatisé et épicé avec du Munster bio local , le mélange était juste parfait !)

25 juillet 17

Le Hohwald – Ventron

7h00 – 140km – 16h30

Départ à 7h00 après petit déjeuner plus que complet. Dès le départ, le col de Kreuzweg atteint à 7h25! Moi qui aime bien démarrer tranquille, c’est raté !

Descente prudente sur route mouillée (Ah oui, oublié de vous dire, il a plu toute la nuit, ça s’est arrêté 15mn avant mon départ!) jusque Fouchy, où le col de … Fouchy m’attend! De nouveau descente jusque Liepvre où le Haut Koenisbourg m’attend ! Joli montée surtout la fin où je dois aller chercher le tampon. J’y suis à 9h30, le seul bar ouvert sert le café…dehors! Arrêt court, je préfère retourner dans la vallée! A partir de là, promenade dans les vignes, petits villages typiques où je dois pointer à Riquewihr, un des plus beaux villages de France. Malheureusement pas trop le temps de se promener, juste une ballade à pied dans la rue principale!

Je continue à rouler dans les vignobles alsaciens, il ne pleut pas, la température est fraîche donc parfaite! Passage de Ingersheim en direction de … Niedermorschwihr ! Ben ouais, on est en Alsace ! Et là changement de décor, ce n’est plus le vignoble…mais ça monte à 7-8% .jusqu’au village de 3 épis où j’y arrive pour déjeuner! Une boulangerie faisant office de resto fera l’affaire, sauf que … la pizza n’est pas passée! Descente vers Orbey, le ciel devient de plus en plus menaçant et… ce qui devait arriver ..arriva! Crachin, pluie fine, puis pluie forte … le tout à 9-10, parfois 11% et vent de face sur la plus grande partie! Je devais pointer au Lac Blanc .. fermé … alors je pointe au col du calvaire à 1100m quelques km plus loin. La serveuse est jolie, souriante et sympathique, ça me réchauffe!!!

Route des crêtes jusque Col de la Schlucht sous un soleil pâle mais bien là, descente vers la Bresse, vent de face, Cornimont et… Ventron 3 km hors du circuit à l’hôtel des bruyères, où je suis très bien accueilli (16h30). Bon diner (poêlée Vosgienne), bon dodo !

26 juillet 17

Ventron – Montbeliard – … gare TGV Belfort Montbeliard

105 km

6h30 – 12h00

Le lendemain, pas de petit déj (trop tôt) mais j’avais prévu la veille, donc pas de souci. Juste le thé, pas assez chaud à cause de l’eau du lavabo un peu tiède ! Là, je sais que j’ai quelques km tranquilles (sauf le col du Mesnil) jusqu’au ballon d’Alsace. Montée (au bout de 20b) de 9km que je connaissais bien. Lorsque j’étais étudiant, on se la montait avec un collègue en contre la montre! Départ à 7% régulier de St Maurice jusqu’au sommet atteint 1h plus tard.. 100% humidité, nuages, route mouillée! Un thé et un tampon plus tard, descente en direction de Sewen, Masevaux, descente splendide que ce soit les paysages ou la conduite du vélo. A recommander ! Ce n’est pas la route directe pour rejoindre Belfort, mais le détour vaut le coup. Pour moi, évidemment, un tampon à récupérer à Rougemont le château, le long de ce détour! Et là, le doute s’installe dans ma tête! Des petites montées de 3% me font mal aux jambes, ça devient plus dur de manger (vous voyez ce que je veux dire !), la veille j’avais fini un peu fiévreux, je vais arriver à Montbéliard vers midi, j’aurais encore 100b à faire et 2000m à franchir… plus encore demain, après demain! Je suis en train de finir un premier relais montagneux superbe, je ne travaille plus, pourquoi irais je transformer ce très bon premier trajet en parcours de galère? Bref la gare de Belfort Montbéliard me semble particulièrement attirante! Je vais donc rejoindre Belfort sans contrainte, trouver la superbe piste cyclable entre Belfort et Montbéliard, pointer et déjeuner à Montbéliard comme prévu à midi, puis repartir en direction de Belfort par la même piste cyclable (ça rappellera des souvenirs à Nicolas ou nous roulions comme des dératés pour récupérer un TGV à la fin de Paris Montbéliard) pour prendre un TGV à la gare. Attente de 2h (peu importe), on remet la housse (merci la SNCF), arrivée gare de Lyon, remontage du vélo, RER, puis Val d’Europe, Coupvray, arrivée 20h à Coupvray.

Conclusion: Une très belle première expérience de «relais de France en montagne» avec les bagages qui me font prendre conscience que les étapes devront être courtes avec des temps de récupération. Que voulez vous, les 20 ans sont loin maintenant!

Claude

Classé sous :Récits longues distances

[Route] Charleville Paris – Juin 2017

18 juin 2017 by Claude Enzer

Bonjour à tous,

Départ de Magny pour prendre le train gare de l’est à 7h58 mercredi 14 juin en direction de Charleville. En effet le faire dans le sens province Paris m’évite de stresser pour prendre le train. Arrivée à Charleville à 9h40, pointage à la gare et c’est parti pour 40 km de montée et descente dans la forêt ardennaise qui est par ailleurs très sympa, on ne s’ennuie pas et quand on est tout seul cc’est important. Pointage 30 km plus loin à Signy-l’abbaye, 2 petits sandwichs fait maison engloutis et c’est reparti direction NEUFACHATEL sur AISNE 1ere ville de l’Aisne.

Le paysage reste très monotone, des champs à perte de vue, quelques villages déserts jusqu’au Chemin des dames ou le parcours devient plus vallonné ce qui n’est pas plus mal. On traverse Bourg et comin et Fismes 2 villes qui sauf erreur de ma part était sur le parcours de ma diagonale Menton-Dunkerque fait 3 ans plus tôt. La chaleur très présente mais pas étouffante, un petit vent régulier m’évite d’avoir trop chaud ( à par dans les côtes ), seul mes pieds me font mal mais j’ai l’habitude 🙂 je vais bientôt passer aux sandales!!

Passage par Chateau-Thierry ou je retrouve le parcours du BRM 200 jusqu’à la Ferté sous jouarre ou je bifurque direction Signy Signets, Crécy puis Magny.

Arrivée à la maison à 21h20 après 10h de vélo ( sans les arrêts) et 245km de vélo parcourus et 1850m de dénivelé. Quelques arrêts ravitos relativement court.

Une flèche sympathique sous un soleil omniprésent !!! que du bonheur 🙂

Nicolas

Classé sous :Récits longues distances

[Route] Paris Nantes 25 & 26 Mai 2017

27 mai 2017 by Claude Enzer

PARIS NANTES

25 & 26 MAI 2017

450KM

Laurent MERCIER & Claude ENZER

St Remy les Chevreuse > Malicorne sur Sarthe
25 mai 17, 250 km, 25,6 km/h

Départ à 5h15 de Val d’Europe par le premier RER quasi désert, jour de l’Ascension. Chgt à Chatelet, direction St Remy. Arrivée sur place à 7h00.

Départ immédiat car nous avons 250km à faire, et en partant à 7h00, ce n’est pas évident

La température est parfaite, (14°C) nous sommes dans la vallée de Chevreuse, au milieu de la nature travaillée par l’homme. Au lever du jour, c’est tout simplement magnifique!

Premier contrôle au bout de ..7 km à Dampierre en Yvelines. Boulangerie, une viennoiserie pour la route et 5mn plus tard nous repartons. Qq châteaux plus loin, nous quittons la vallée et nous retrouvons sur la route de Chartres. Nous y arrivons par un superbe piste cyclable où nous rencontrons piétons, sportifs, VTTites et autres patineurs. Il est env. 10h30. Qq propos avec des coureurs qui me demandent si je prépare Paris Brest.. hé, hé, si ils savaient !!

Le vent prévu de dos par Météo France est conforme aux prévisions et nous avons roulé à une superbe moyenne! Par contre, la température commence à monter et ça, c’est (nettement) moins bien!

En repartant de Chartres, il y a 4 ans, ayant eu des difficultés pour sortir de cette belle ville, je décide d’utiliser mon GPS de mon tel. Erreur! Celui-ci est programmé « voiture et au plus court, comme tout le monde » et, si nous sortons très (trop) vite de la ville,  nous nous retrouvons sur des voies rapides. Obligés de les contourner et même si le GPS nous remet sur la bonne route, ce n’est pas encore une réussite! Ensuite, toujours une allure rapide jusque Thiron Gardais où nous décidons qu’une pause est nécessaire! Sandwiches à la viande des grisons, boissons fraiches et nous repartons jusque Authon au Perche où … tout, je dis bien, tout est fermé ! Nada, rien, obligé de faire une photo pour assurer le contrôle ! Il est env. 13h !! La France profonde un jour férié, ce n’est pas triste ! Et ce n’est rien, ce fût comme cela tout l’après midi! Heureusement, nous avions de quoi survivre ! Quand à l’eau dans les bidons, n’étant pas comme Laurent, (un vrai chameau) j’ai fait appel à l’habitant (e) à plusieurs reprises. A raison d’un bidon tous les 30km et surtout pas le droit de rester sans eau sous peine de danger. La température frôle maintenant les 34°C. Des souvenirs du Paris Brest reviennent, Montmirail par exemple. Nous sommes dans un paysage de bocages, beaucoup de vaches (à l’ombre), peu de monde, nos routes sont étroites, peu fréquentées, nous sommes en France profonde. Notre vitesse diminue au fur et à mesure que la temp. monte (cherchez l’erreur !) et nous stabilisons à 24-25, toujours avec le vent dans le dos. Pour ce qui me concerne, je trouve que le compteur ne tourne pas bien vite, même si les paysages sont jolis.. Mais la pression d’arriver à Malicorne pas trop tard reste forte. Les bosses se montent tranquillement mais sans mollir. Point positif; En haut des bosses, Laurent est 50-60m devant, il calque sa vitesse sur la mienne, ce qui me permet de revenir sur lui facilement et de continuer à rouler « ensemble ». Le moral reste intact! A aucun moment pendant ces 2 jours, nous n’aurons été  à plus de 100m l’un de l’autre. Croyez moi, dans la fournaise, c’est plus qu’agréable! Ca change des 500m à 2km que certains du club appliquent !

Les villages, toujours aussi déserts sont traversés sans s’arrêter, mais toujours avec un coup d’œil vers l’église, la mairie, la maison de maître ou le château qui attirent notre regard. Mais comme toujours, pas trop le temps de s’arrêter, kilométrage important journalier ayant force de loi. Nous sommes vigilants sur notre itinéraire, chaque km supplémentaire étant dur pour le moral. Des arrêts fréquents pour vérifier, aucune erreur au tableau.

L’asphalte nous renvoie la chaleur accumulée, par endroit il est même fondu, les roues renvoient un son que nous connaissons bien!

En se rapprochant de Malicorne, nous avons évidemment droit aux erreurs de kilométrage des panneaux. Malicorne 8km, puis 5 km plus loin, Malicorne 10km, etc. Bref le moral, dur, dur !! On a beau être habitués, on a un peu de mal à s’y faire !

Enfin à 19h pile, la pancarte Malicorne est franchie. Une mousse à la terrasse de l’hôtel, une douche, un repas du jour (entrée, plat, fromage dessert et une bouteille de cidre pour 12,5 € chacun!) et à 20h45, dodo après avoir négocié un petit déjeuner « à l’arrache ». La nuit fut plus que bruyante, tradition de Malicorne oblige. On avait l’impression qu’ils installaient de nuit et dans le noir un genre de chapiteau pour un spectacle. Le lendemain matin, il n’y avait rien. Il y a 4 ans, c’était des motos qui avait tourné en rond sur la place pendant 30mn, juste pour emm.. Les gens !

Malicorne sur Sarthe > Nantes
26 mai 17, 160 km, 23,3 km/h

Petit déj à 6h30, départ à 7h00 comme prévu. La peau du ventre bien tendue, nous attaquons dès la sortie de Malicorne une première bosse. Temp 16°C, tout baigne, les bocages, les champs et les vaches sont toujours là! Le vent dans le dos est là, même s’il n’est pas très fort.

Plus de bosses que la veille, mais elles ne sont ni très longues, ni très dures. Il suffit de les monter sans trop forcer et tout se passe bien. Je suis la montée de la température et celle-ci à ma grande surprise s’arrête à 30°C vers 11h ; On se dit que ça va être dur, mais sans plus ! Déjeuner à Méjean sur Loire (ce fleuve sauvage que nous voyons pour la première fois) Il ne nous reste plus que 66 km, le train est à 18h20, nous avons donc le temps pour un repas gastronomique, pas une pizzeria ou un kebab! 1h30 pour savourer entrée, plat, dessert , cuisiné avec amour pour, à la fois le plaisir des yeux et de nos papilles! Puis, quand nous sortons du resto, la claque. La temp est de 35°C et dès le départ, ne fait que monter! Nous commençons un jeu avec Laurent et il perd toujours! Quand je lui demande la temp, il est toujours en dessous. Il a enfin gagné à 41°C !!! Un rien nous amuse !

Nous commençons par une longue ligne droite de 10km, quasiment réservé aux vélos. Nous y voyons des familles avec enfants, nu-tête en plein soleil, bref des gens qui n’ont pas compris grand-chose aux dangers de la chaleur !

Les villages traversés passés maîtres dans l’art du muscadet nous font des clins d’œil quand nous les traversons. Nous cherchons les sentiers du bord de Loire que nous finissons par trouver à Bouzillé (ne rigolons pas!) De là, un sentier de toute beauté nous emmène à travers bocages, bois et pâturages jusque Drain ou le sentier « se perd ». De là, nous devons monter à Champtoceaux, longue bosse à 6-7%, charmant petit village à 60m au dessus de la Loire d’où le panorama est superbe. Nous sommes dans les temps, un petit breuvage, une visite au panorama et nous repartons. Le temps passe vite, mais le nombre de km reste raisonnable, il nous faut juste maintenant bien gérer avant le départ du train. Nous rejoignons un peu plus loin les bords de la Loire, prenons le même sentier qu’il y a 4 ans, mais là..il fait 41°C. Ce sentier monte, descend, comporte des secteurs pavés, des virages, bref il est dangereux, compte tenu de la chaleur! Apres un dernier arrêt de 10mn (nous avons du mal à respirer) et une diminution de notre vitesse moyenne, nous revenons sur la route, puis un piste cyclable plate et correcte nous emmène au centre de Nantes. Nous trouvons la gare, toujours au milieu des travaux, une dernière mousse avant le départ et nous voilà dans le TER direction Orléans. Arrêt du train en pleine voie pendant 20mn (vous imaginez la temp dans le train (wagon Corail)) et donc on loupe notre correspondance à St Pierre des Corps! Mais, sauvés par le gong, notre TGV, le dernier de la soirée a lui, 1h15 de retard! Sinon, c’était une nuit à Tours! Bref, fin de l’aventure à 23h15 après un dernier petit effort entre la gare de Chessy et  Coupvray.. (En vélo, hein Nicolas!).

Conclusion

A priori, une flèche sans difficulté… mais avec la chaleur !!!!

Le résultat est une perte de poids pour ce qui me concerne de 6,3kg. Ayant bu beaucoup, pas l’impression d’être trop déshydraté !

Je n’ai repris que 2 kg en 2 jours… bon signe !

Claude & Laurent

Classé sous :Récits longues distances

  • « Page précédente
  • 1
  • …
  • 14
  • 15
  • 16

Mentions légales

Copyright © Vélo Club du Val d'Europe | Mairie de Coupvray - Place de la Mairie | 77700 Coupvray | asso.vcve@gmail.com

Réalisé avec par altercreation.